Après plus d’un an de fermeture due au dépôt de bilan de l’ancien comité de gestion et aux travaux d’homologation, le circuit d’Albi rouvre ses portes.
Le premier événement à venir du Circuit d’Albi sera le Tour auto Optic 200 le 23 avril, comme on peut le découvrir sur son stand à la foire voisine. Avant cela une séance de roulage moto aura lieu le 11 avril. Malheureusement cette année contrairement aux programmes habituels le Grand Prix d’Albi n’aura pas lieu. «Le calendrier demande une inscription en amont d’un pour organiser ce genre de course et donc il faudra attendre 2 016 pour le retour du Grand Prix»
LA DEPECHE – ARTICLE DU 26/03/2015
Mais voilà que les riverains portent plaintent
LA DEPECHE – ARTICLE DU 27/05/2015
Les réseaux sociaux s’en mêlent, une page de soutien sur facebook a vu le jour rapidement ” contre les riverains qui se plaingent du circuit d’Albi” , le seuil des 8000 likes a été franchi
le 31 mai, nous pouvions lire un remerciement “Merci à tous pour votre soutien!8000 personnes contre 416 riverains séquestrois!”
Bien entendu tous les riverains ne sont pas contre la reprise du circuit, certains réclament juste une réglementation plus sérieuse quant aux nuisances sonores
LA VOIX DU NORD
http://m.lavoixdunord.fr/region/aire-autoroutiere-de-phalempin-9060-euros-d-amende-pour-ia25b50454n2859096#.VWzOC98ftzw.facebook
Les CRS ont procédé à un contrôle mardi 26 mai, sur l’aire de Phalempin, située en bordure de l’autoroute A1…
Mardi 26 mai, vers 9 h 30, les CRS ont contrôlé un semi-remorque, sur l’aire de repos de Phalempin, en bordure de l’autoroute A1 dans le sens Paris vers Lille. Le véhicule tracteur était immatriculé en Bosnie, la semi-remorque en Allemagne.
Le conducteur effectuait un transport public routier de marchandises constitué de céramiques, en provenance d’Espagne et à destination de Lezennes. Le conducteur du véhicule est lui de nationalité croate.
Première infraction relevée : l’autorisation pour le transport international de marchandises était un faux papier. Le conducteur a écopé d’une consignation de 2 250 €. La procédure de consignation, essentiellement appliquée aux véhicules étrangers, est la suivante : le conducteur dépose une somme, afin d’être certain que ce dernier se présente bien au tribunal. Lorsque ce dernier se présente, le juge fixe une amende, qui peut être inférieure ou égale au montant de la consignation. Si personne ne comparaît, l’Etat garde la somme déposée.
Par ailleurs, les CRS ont constaté que le conducteur avait caché des disques diagrammes, afin de masquer les périodes de conduite supérieures à la durée maximale autorisée. Ce qui lui vaut une consignation de 6810 €.
Le chauffeur contrevenant a ainsi un total de trois délits et onze contraventions pour une consignation de 9 060 €.
PLANA RADENOVIC
Le Grand Prix Camion de Nogaro est devenu depuis des décennies une manifestation incontournable du circuit. Ces camions de course (de taille réduite) sont de véritables bêtes de course : plus de 1000 chevaux pour propulser les 5 tonnes. La vitesse est néanmoins limitée à 160km/h pour des raisons de sécurité. Le spectacle est toujours au rendez-vous avec ces pilotes qui n’ont pas peur des contacts rugueux sur la piste.
En plus de la compétition, une parade de camions décorés est organisée. Elle défile à deux reprises : le samedi soir dans les rues de Nogaro, le dimanche vers 13h elle empreinte la piste dans un concert de klaxons.
http://www.circuit-nogaro.com/fr/39-grand-prix-camion.html
http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/25/2111357-24-tonnes-de-marbre-au-fosse.html
En début de week-end, juste avant le rond-point du Carreyrat sur la route d’Albi, un accident a perturbé la circulation pendant près de trois heures. Le conducteur d’un semi-remorque à rideau coulissant circulait dans le sens Albi-Montauban. Voulant éviter un accident, il a freiné brutalement. Mais un bloc de marbre de 24 tonnes amarré à son bord s’est détaché et a atterri dans le fossé. Les dégâts sont nombreux, sous le choc la route a été défoncée. Le tracteur et la remorque du camion ont été gravement endommagés. Les services de police et du conseil départemental ont rapidement sécurisé les lieux et la circulation a été rétablie vers 20 heures.
la dépêche titre ” camion en feu sur le périphérique toulousain : rocade bloquée, circulation difficile”, nous qui y étions nous préciserons circulation “quasi-impossible” dans le sens Bordeaux / Carcassonne… il était bien plus rapide de faire un tour de rocade “à l’envers” ou de traverser le centre de Toulouse pour une fois ! et ceci jusqu’en fin d’après-midi !
Source : la Dépêche du 12 mai 2014
C’est un incident rare et impressionnant qui a eu lieu ce lundi matin sur le périphérique toulousain. Un semi-remorque transportant plusieurs tonnes de pneus a pris feu peu avant 7 heures sur la rocade dans le sens nord-sud entre les sorties Lasbordes et Montaudran. Les pompiers ont été dépêchés sur place pour stopper l’incendie.
La circulation a été coupée dans les deux sens du périphérique, provoquant d’importants ralentissements en ce jour de rentrée scolaire. Les automobilistes sont priés de sortir à Lasbordes. Les embouteillages s’étendent notamment sur le périphérique intérieur, qui est saturé entre des Ponts jumeaux à Montaudran.
Aujourd’hui retour aux bouchons habituels… bonne route !
Source : http://www.ouest-france.fr
Alexis RAISON
Deux camions se sont percutés ce mardi matin sur la RD 948, entre Aizenay et St Christophe du Ligneron. La circulation est déviée jusqu’en début d’après-midi.
La circulation a été fortement perturbée ce mardi matin à hauteur du lieu-dit Bel-Air (Maché), sur la RD 948. Vers 8 h 15, deux poids lourds se sont percutés et ont tous deux échoué dans le bas-côté.
“Un des deux véhicules s’est déporté sur sa gauche, et il y a eu collision avec un autre camion qui arrivait en face”, explique-t-on du côté de la gendarmerie, présente sur place. Les deux conducteurs ont été transportés aux urgences de Challans, en observation, mais ne sont pas sérieusement blessés.
Les services du Conseil général sont également intervenus pour organiser une déviation. À l’heure de pointe, ce matin, les automobilistes ont été redirigés vers St Paul Mont Penit. Les blocages routiers autour de l’accident seront maintenus jusqu’à ce que les deux camions soient remorqués. Déviation à prévoir jusqu’en début d’après-midi.
Faux taxis présumés : trois hommes arrêtés pour le transport de personnes de Paris vers le Nord
Trois hommes, qui assuraient des navettes entre Paris et le Nord dans des minibus, ont été placés en garde à vue lundi pour “travail dissimulé” et non inscription au registre des transporteurs”, a-t-on appris de source policière. Les trois hommes ont affirmé “pratiquer le covoiturage”.
avec AFP
Publié le 12/03/2014 | http://nord-pas-de-calais.france3.fr
Depuis plus de deux mois, la police parisienne avait placé sous surveillance ces transporteurs d’habitude situés porte de la Chapelle dans le nord de Paris. La régularité des prises en charge des passagers avait conduit les effectifs des Boers – la brigade des taxis de la préfecture de police de Paris – à cibler ces trois hommes.
20 euros pour venir de Paris
Ces transporteurs, qui utilisent des minibus de 7 et 9 places, effectuaient régulièrement des trajets entre Paris et le nord de la France, et faisaient à chaque passager le trajet à un prix dérisoire, entre 15 et 20 euros. Ils effectuaient également des trajets jusqu’en Belgique pour 35 euros.
Mais les policiers ont établi que les personnes utilisant ce mode de transport, ne passaient pas par un site de covoiturage, et se présentaient directement porte de la Chapelle.
Face aux enquêteurs, les gardés à vue ont assuré pratiquer le covoiturage tout en minimisant les revenus tirés de cette activité.
Enquête d’action sur M6 (rediff. W9)
, avait mis en avant les difficultés des transporteurs
si vous voulez revoir ce reportage
cliquez sur le lien YOU TUBE
Le sujet du transport routier est sensible
beaucoup d’entreprises sont en liquidation judiciaire, en mode sauvegarde
de plus en plus de concurrence étrangère arrive dans le pays
les chauffeurs qui respectent la législation ne peuvent plus lutter !
Source : Metro News
TRANSPORT – Certains taxis de la Ville rose sont en colère après la mise en place d’un nouveau service de transport par la SNCF. Ils estiment que c’est une nouvelle concurrence à leur activité.
Les taxis toulousains sont en colère. Ils n’apprécient pas le nouveau service proposé par la SNCF à ses clients. Depuis le 24 février, la société VTC (Voiture de tourisme avec chauffeur) Pink Me Up met à la disposition des voyageurs de la gare Matabiau des voitures avec chauffeur.
En achetant son billet de train, le client peut désormais commander un trajet en voiture. Un service vécu comme une concurrence déloyale par certains taxis. “La SNCF doit faire rouler des trains et nous faire voyager des personnes sur les routes, chacun son métier”, lance André, 67 ans, croisé devant la gare Matabiau entre deux courses. “C’est comme si du jour au lendemain je décidais de conduire des voyageurs à Montpellier à bord de ma voiture. C’est du grand n’importe quoi !”.
Des taxis divisés
Quelques voitures plus loin, Sandrine, 41 ans et taxi professionnel depuis deux ans et demi au volant de son break, s’inquiète sur le devenir de son activité. “Déjà que mon chiffre d’affaires a baissé avec la crise de 30 à 40 %, ce n’est pas une bonne nouvelle”, note-t-elle.
Un discours qui n’est pas forcément partagé par tous les chauffeurs. Le représentant toulousain des taxis indépendants se montre lui plus mesuré. “On doit s’accommoder de la concurrence, à nous de faire le nécessaire en termes d’accueil de la clientèle pour qu’elle continue à monter dans nos voitures”, affirme Didier Gouzot, le président du SAT (Syndicat des artisans taxis).
du côté de la SNCF qui exploite ce service dans quinze autres gares en France depuis décembre 2012, on se défend de faire de la concurrence déloyale. “On touche une nouvelle clientèle à qui on propose des services supplémentaires comme l’absence de limites de poids pour les bagages, le prix fixe de la course et la ponctualité du chauffeur”, explique un porte-parole de la société ferroviaire.
Philippe Font
metronews.fr, à Toulouse
